martes, octubre 10, 2006

para un anónimo...



Si ce n'est pas le vent du changement
Qui vient souffler de l'air à mes ailes
Ce n'est pas un courant d'air que j'attends
Pour m'envoler jusqu'au ciel
J'ai besoin d'un petit vent bien pressant
Pour me donner de l'altitude
Et savourer tout en planant
Cette idée de plénitude.

Mais voilà, ça n's'invente pas
Ce calme plat, si plat
Sans un nuage, sans un c;ur qui bat...
Si ce n'est pas le vent du plaisir
Qui vient combattre mon apesanteur
Je ne laisserai pas un mauvais zéphyr
Me pousser droit vers un leurre.


Car si l'amour n'est pas dans l'air
Je préfère rester sur terre

Et si j'en crois mes amies les fourmis
Dans leur lointaine idée des airs,
Me prédire une vie de paradis
De labeur et de carrière
Plus jamais seule, entourée de confrères
Et de bien amicales consçurs,
Je saurais bien trouver la manière
D'aborder le bonheur.

Mais voilà, ça n's'invente pas
Ce calme plat, si plat
Sans un nuage, sans un c;ur qui bat...
Si ce n'est pas le vent du plaisir
Qui vient combattre mon apesanteur
Je ne laisserai pas un mauvais zéphyr
Me pousser droit vers un leurre.


Car si l'amour n'est pas sur terre
Je préfère reprendre l'air

Si ce n'est pas le vent du changement
Qui vient souffler de l'air à mes ailes
Ce n'est pas un courant d'air que j'attends
Pour m'envoler jusqu'au ciel
Je recherche vainement l'attraction
Terrestre ou s'il le faut lunaire
Qui me fera prendre position
Pour l'être extra, l'ordinaire...


Si l'amour n'est pas dans l'air
Je préfère rester sur terre
Mais si l'amour n'est pas sur terre
Je préfère reprendre l'air.

miércoles, octubre 04, 2006

NI SAN FRANCISCO NI DE ASIS

Estoy sentado en un banco
aqui en la plaza ñuñoa
unas palomas se acercan
creyendo que les voy a dar de comer
las tontas ueonas no saben
que lo único que quiero
es aforrarles una chuleta
me cargan estas palomas culiás
son más feas que la cresta


Bertoni